« La
première fois que je vis mon père, c'était sur le quai d'une gare.
J'avais trois ans... La dernière fois qu'il m'apparut j'en avais
vingt-sept. Il me souriait à la portière d'un wagon qui l'emportait
vers Marseille, vers la Chine, vers son destin. »
Mon père
Florise Londres
Albin-Michel, 1934
Florise Londres
Albin-Michel, 1934
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